Beau-Papa Chapitre 5. Jean MEmmène Dans Une Maison Très Spéciale.
Beau-papa
Chapitre 5
Jean memmène dans une maison très spéciale.
-Tu es une vraie petite salope, dis-donc ! Tu mas mis sur les genoux, ce nest plus de mon âge !
Je vais organiser une journée très spéciale la semaine prochaine. Prends tes dispositions pour être libre vendredi, je passerai te chercher, on commencera par aller renouveler ta garde-robe par quelques menus achats, je serai là vers 9h30, ne me fais pas attendre.
Il part une fois la chasse deau réparée.
Suite :
Jean a monté une histoire de toute pièce pour vendredi. On doit aller se renseigner pour changer la robinetterie de la salle de bain quil dit à bout de souffle dans un grand magasin de la ville dà coté.
Il doit aussi aller voir un ami qui risque de nous retenir à déjeuner, arguant que ça me changera les idées.
Bruno est daccord déchapper à cette corvée et belle-maman récupérera les s à la sortie de lécole et les gardera ce weekend.
Les jours se traînent, enfin le vendredi arrive. A lheure convenue, je le guette derrière ma fenêtre. Je vois enfin sa voiture se garer, il en descend et se dirige vers la porte. Sitôt que je lui ouvre, il membrasse, matt par la taille et laisse descendre son bras sur mes fesses avant de remonter sa main sous ma jupe. Il fronce soudain ses sourcils broussailleux en découvrant le tissu dun tanga.
-Quest ce que cest que ça ? Tu as déjà oublié mes préceptes ?
-Euh
tu mas dit quon sortait
alors
-Alors quoi ?! Javais dit aucun sous-vêtement quand tu es avec moi ! Cest valable même quand on doit sortir !! Tu as intérêt à retirer ça fissa !
Il me suit dans ma chambre. Baissant la tête pour me faire pardonner, je me déshabille pour retirer tanga et soutien-gorge et les laisse par terre sous ses yeux rétrécis. Je me regarde dans le miroir Jai les tétons qui pointent et la raie des fesses bien dessinée. Au premier coup dil, tout le monde verra que je ne porte rien sous ma robe.
Nous quittons la maison, Jean, toujours galant, mouvre la porte de sa voiture. Une fois sortis de la ville, il me demande de remonter ma robe découvrant complètement mes cuisses puis de me caresser pour me chauffer pendant le trajet.
Des coups de klaxon retentissent quand les chauffeurs des camions que nous doublons se rendent compte du spectacle gratuit que je leurs offre. Certains accélèrent pour profiter quelques secondes supplémentaires de la vue plongeante sur mon entrejambe où ma main sactive sur ma fente humide, me faisant des gestes obscènes. Et on se demande ensuite pourquoi il y a des accidents inexplicables !
Jean nous amène dans une ville à plus dune heure de chez moi où je risque moins de tomber sur des connaissances car je viens rarement dans ce département limitrophe.
-Pour ce qui est de tes robes, tu verras avec Laetitia, ta meilleure copine. Elle au moins sait se mettre en valeur, robe bien échancrée et pas trop longue pour mettre en valeur ses belles jambes. Je suis sûr quelle sera daccord. Mais pour le reste, je connais une excellente adresse !
Il sarrête dans une petite rue à lécart du centre devant une boutique de lingerie. On dirait que cest un endroit quil fréquente assez régulièrement car il salut la patronne. Elle lui répond par un :
-Bonjour Monsieur Jean ! En visite dans notre belle ville ?
-Bonjour Christine, je te présente ma belle-fille Lucie. Elle va avoir besoin dêtre relookée, mon fils ne supporte plus de voir ma bru avec ses dessous moches quelle affectionne. Je connais tes talents, je la laisse donc entre tes mains, je reviendrai dans une heure!
Je suis déçue quil me laisse seule mais madame Christine ne me laisse pas le temps de me faire une raison. Elle me fait tourner devant elle devinant sans même prendre mes mensurations.
-Bien, bien
Je ne sais pas les goûts du fils de Jean mais je vais faire comme si cétait pour son père.
Pendant lheure qui suit, jessaie des dessous plus sexy les uns que les autres, certains sont de vrais pousse au viol tellement ils sont si aguichants.
Quand Jean revient enfin, je lattends avec quelques paquets. Comme un bon prince, il règle la note sans même me demander mon avis et fait un compliment à Christine.
-Je suis certain que tu tes encore surpassée, chère amie, à la prochaine
Il la salue et nous regagnons la voiture.
-Très bien Lucie ! Je suis sûr que Christine a fait les bons choix pour toi, il ny a pas plus douée quelle à 200 Kilomètres à la ronde ! Bon
, maintenant on va passer à la quatrième leçon mais je ne suis plus assez jeune pour te la prodiguer. Pour cela, je me suis adressé à monsieur Paul. Mais comme dhabitude, je te demande encore de me faire confiance. A toi de voir
-De quoi sagit-il ?
-Tu ne le sauras quune fois arrivée à destination, mais tu te doutes quand-même un peu de ce quil va se passer.
-Non
enfin si. Mais jai un peu peur !
-Tu sais très bien que sil y avait le moindre risque, je ne te le proposerais pas, alors ?
Après un moment dhésitation, je me décide enfin :
-Je suis allé trop loin pour tout arrêter maintenant, cest donc oui.
Il sort de la ville et on se retrouve quelques minutes plus tard devant la grille dune grande propriété, il klaxonne et le portail souvre automatiquement. La voiture roule dans une allée gravillonnée et stoppe dans la cour dune grosse maison bourgeoise. Il me fait descendre de la voiture et monter un escalier majestueux avant de sonner à la porte.
Un homme de son âge nous ouvre et nous fait entrer dans le hall de la maison. Il salue Jean et me fait un baisemain. Je sens son regard me déshabiller des pieds à la tête.
-Très honoré mademoiselle, entrez au salon je vous prie !
Cet homme a lair dêtre aussi galant que Jean, cest un peu rassurant mais je redoute la suite.
Beau papa me tend les paquets de lingerie quil a pris sur la banquette arrière de la voiture.
Il mindique une porte au fond de la pièce et me glisse à loreille :
-Ma chérie, Va passer lensemble le plus sexy puis revient nous rejoindre!
Devant mon hésitation, il insiste en indiquant dun coup de tête la porte et jobéis enfin à sa demande.
Cest une grande bibliothèque remplie de vieux bouquins avec un bureau et deux vieux fauteuils.
Je sors de mes paquets un ensemble avec une guêpière noire, un porte-jarretelles, des bas noirs et un mini string, le contraste avec ma peau blanche me plait bien.
Jobserve mon reflet dans un miroir situé au dessus de la cheminée. La mère de famille est habillée comme une pute faisant le trottoir au bois de Boulogne.
Je remets mes escarpins, prends une grande respiration pour me donner du courage et ouvre la porte. Je les rejoins dans le salon, ils sont assis dans des fauteuils cossus en pleine discussion.
Le claquement de mes talons attire leur regard et leur conversation sinterrompt.
-Avance jusquau centre de la pièce, me demande Jean, et tourne sur toi-même !
Je lui obéis, sentant les regards des deux hommes posés sur moi.
-Mmmhhh ! Vraiment magnifique ! Tu navais pas exagéré
Ta belle-fille est superbe Jean
je ne peux pas croire ce que tu mas dit, qui ne veut pas dun lot de premier choix pareil ? Il y a vraiment des cons sur terre !
-Je ne tavais pas menti
et Christine cest encore surpassée!
-Tu reviens la prendre à quelle heure ?
-Je dois aller voir un ami, mon alibi, je ne reviendrai pas avant plusieurs heures.
Mais que dit-il ? Jean ne va pas me laisser seule avec cet inconnu? Je ne veux pas
A suivre
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